Eva Illouz : "Le malaise français vient de quelque chose de positif. Les Israéliens attendent très peu de leurs institutions."

Claude Bartolone : "Les Français n'attendent pas une politique plus à gauche ou révolutionnaire, ils attendent des résultats"

Laurent Jacobelli : "Les Français attendent un débat de haut niveau" entre Macron et Le Pen

Virginie Calmels : "les Français attendent qu'on ait le courage d'aborder les sujets qui fâchent comme celui de l'islamisme"

Marcel Gauchet : "Ce qu'attendent les Français, c'est la remise en état de cette institution : ce n'est pas avec des médailles qu'on résoudra les problèmes de l'hôpital"

Bruno Le Maire : "Les Français attendent autre chose de leurs responsables politiques"

Richard Malka, avocat de Charlie Hebdo : "J'espère que les Français sont encore Charlie, je le crois, mais il y a un malaise, dans une certaine élite universitaire, parfois médiatique, parfois politique."

Richard Malka : "J'espère que les Français sont encore Charlie, mais il y a un malaise"

Transports : la crise de nerfs au cœur du malaise français - En toute subjectivité, Anne Rosencher

Omar Sy : "Le fait que Lupin soit incarné par quelqu'un comme moi, un Français d'origine sénégalaise, ça raconte autre chose. Maurice Leblanc avait écrit sa vision du Français idéal. Le personnage de la série, c'est ma vision d'un Français d'aujourd'hui"

Avraham Yehoshua : "L'Europe a un devoir moral envers les Israéliens et les Palestiniens"

Un haut responsable des services secrets israéliens sur la sellette, En toute subjectivité Dov Alfon

Aliza Bin-Noun : "C'est discriminatoire et anti-juif" (sur l'étiquetage des produits israéliens)

Samy Cohen, spécialiste de la société israélienne : "La population a l'impression de vivre sur un baril de poudre en permanence. C'est ce qui fait le succès de la droite, ce sentiment d'insécurité profond que ressentent les Israéliens."

Camélia Jordana : "Emmanuel Mouret est l'un des quelques auteurs et réalisateurs français pour lesquels le français est une chose à laquelle il s'accroche férocement"

Valérie Rabault : "Un Français sur quatre a, depuis un an et demi, été concerné par des pénuries de médicaments, les Français peinent à obtenir des rendez-vous chez leur médecin"

Gérard Larcher : "Nous devons aux Français, nous devons à la France, d'avoir un seul ou une seule candidate pour porter la parole et le projet de la droite et du centre. Et les Français choisiront."

Hervé Le Bras, démographe, sur le taux de fécondité français paradoxalement élevé : "Les Français vivent dans le malheur public et le bonheur privé : ils font du cocooning. Puisque ça ne marche pas à l’extérieur, on va se construire son petit nid"

Elisabeth Borne : "On a dit très clairement aux Français qu'aujourd'hui, il faut organiser ses vacances en France. On n'invite pas les Français à envisager des vacances à l'étranger."

Adrien Quatennens : "Le résultat de ces élections européennes, ce n’est pas un revers français, c’est un revers européen. Beaucoup de Français ne sont même pas au courant qu’il y a eu une élection européenne."

66 millions de Français, ce n'est pas TOUS les français... - Le Journal de 17h17

"Les hommes sont évalués en fonction de leur statut social", estime la sociologue Eva Illouz

Eva Illouz : "La Fin de l’amour"

Eva Illouz sur les marchandises émotionnelles : "Tout est fait au club Med pour nous 'libérer' de l'argent."

Eva Illouz : "Le féminisme a été le combat politique le plus important du 20e siècle."

Eva Illouz : " Dans les entreprises, on évalue les candidats en fonction de leur positivité."

Eva Illouz : "La psychologie positive a même inventé l'épanouissement post-traumatique."

Catherine Meurisse, Etienne Davodeau et Anne Lemonnier sont les invités du 13h

Je m’en bats les céleris - Tanguy Pastureau maltraite l'info

Enquête sur une mystérieuse multiplication de pizzas - La drôle d'humeur d'Alexis le Rossignol

Tempus fugit, memento Morin - La drôle d'humeur de Mélodie Fontaine

Catherine Vautrin : "Augmenter le prix du tabac peut dissuader, mais ça ne suffit pas"

Finances publiques : a-t-on perdu le contrôle ?